You are currently viewing 12 ha de déchets sur l’île de loisirs de SQY… Une surprise et un hasard ?

Vous avez peut-être vu une vidéo ou lu un article du Parisien publiés récemment qui font état d’une zone de 12 hectares de détritus sur l’Île de loisirs de l’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines ?

Comment en est-on arrivé là ? Comment un ancien camping a pu se transformer en décharge sauvage ? Pourquoi rien n’a été fait pour empêcher cela ?
 
 
Plan de la base de Loisirs de St Quentin montrant l'étendue et le lieu de la zone de déchet (non loin du vélodrome)
L'état de la zone Nord de l'île de loisirs en février 2023

Un ignymontain, militant de longue date, nous livre sa version de l’histoire. Nous vous donnerons ensuite des éléments de contexte pour mieux comprendre la situation :

Une vidéo fait actuellement le buzz sur le web, lancée par un journal local : elle montre 12 ha de détritus sur l’Île de loisirs et donne la parole au président actuel du syndicat tripartite qui gère la totalité du lieu. Celui-ci pointe les responsables : des squatteurs qui auraient organisé des filières de dépôt illicites de déchets.

Pour comprendre ce qui s’est passé, il est utile de tenter un retour en arrière sur ces dernières décennies et sur la brève histoire de l’île de loisirs (une petite cinquantaine d’année).

Au commencement, une intuition fabuleuse du pouvoir politique organisant le territoire de la région IDF avec des Villes Nouvelles et d’immenses jardins collectifs qui seraient mis à la disposition gratuitement des populations de la proche banlieue ne disposant pour seul espace vert que le square de leur quartier. Un espace public ouvert au plus grand nombre, espace de loisirs, et pourquoi pas, de découverte de la nature, de culture (dans tous les sens du terme).

Pour contenter tout le monde, le pouvoir politique confie la gestion de ces bases de loisirs à des syndicats gérés de manière tripartite par la Ville Nouvelle sur laquelle elle est implantée, le département et la Région (3 représentants chacun). Cette dernière est propriétaire du foncier, elle investit et les deux autres gèrent le fonctionnement.

Le premier réflexe du syndicat est très rapidement d’en faire un lieu géré par le privé (préfigurant les futurs parcs à thème) avec des activités payantes diverses et variées. Heureusement, localement, dans les années 90 la lutte s’organise et obtient gain de cause pour que ce lieu reste public et ouvert au plus grand nombre avec les affluences que l’on connait certains week-end de printemps pour des rassemblement conviviaux et festifs.

Issu de cette lutte et d’une négociation serrée au niveau de l’Agglo, à l’époque « à gauche » tout comme la Région, un Président écologiste est élu en 2001. Très rapidement, le Département et l’Agglo se mettent d’accord pour lui imposer un contrat pluriannuel de baisse de leur participation financière au fonctionnement. Ses marges de manœuvre s’amenuisent sous le contrôle « amical » de ses amis « de gauche » complices des élus de droite. Après avoir créé le Parcours dans les Arbres, rénové le centre de voile et le restaurant, il obtient du concessionnaire du camping de prolonger son contrat et tente d’initier sa nécessaire rénovation. Soutenu par la Région (de gauche) mais combattu pendant 7 ans par une coalition Département (de droite) et Agglo (de gauche), il ne se représente pas et il est  remplacé, d’abord par un adjoint de Guyancourt, puis, à partir de 2014 par des élus de la droite ignymontaine (entre temps, Région et SQY ont basculé à droite). Il faut dire qu’il s’était opposé (là encore soutenu par la Région) à la pression de l’Agglo de céder des terrains pour le projet de Vélodrome…

À la même époque, le président de SQY, soi-disant « socialiste » offre à son ami, le maire de Montigny, une magnifique entrée de ville avec un superbe vélodrome national à deux pas du lieu. Le maire de Montigny et sa majorité décident alors de construire au milieu de rien quelques immeubles pour tenter de financer cette opération pharaonique : des immeubles d’habitation « réservés aux étudiants et aux chercheurs » (sic). Le Maire refuse de créer un vrai quartier, craignant de devoir installer des services publics, comme une école, dans ce quartier de Montigny quelque peu excentré.

Bref, les élus de SQY et le Maire de Montigny, avec le Vélodrome et les immeubles environnants, ont un « os à ronger ». Ils délaissent complètement, à deux pas, l’île de loisirs et son fameux camping.

Celui-ci est squatté, les déchets s’amoncellent au vu et au su de tout le monde mais qu’importe : à côté, un magnifique équipement de prestige se construit pour le plaisir de toute la population Saint-Quentinoise qui vient y faire des tours de piste, participe à des concerts ou des cérémonies de vœux à la gloire du libéralisme, du conservatisme et, accessoirement, du président de SQY.
Si tout fonctionne bien comme d’habitude avec les bons vieux tuyaux de la « fabrique de l’ignorance », l’histoire devrait retenir que ces déchets sont le résultat de l’incompétence d’un élu écologiste.

Le président de l’Île de loisirs, bras droit du Maire de Montigny devenu alors président de SQY, toujours soucieux de rentabiliser le lieu dont il a la charge, lance une étude pour aménager tout le nord de l’Île de loisirs, la partie camping mais aussi les 70 ha utilisés par une agriculteur voisin. Il caresse alors l’idée que le PSG vienne y installer son camp d’entraînement. Quelle déception pour le président de SQY, maire de Montigny et ancien journaliste sportif quand le PSG refuse la main tendue !

Un collectif citoyen Saint-Quentinois (soutenu par ATTAC, Terre de liens, Artisans du Monde, la Biocoop , le Champ des Possibles et le GAB – Groupement des agriculteurs bio d’IDF), entendant parler de l’étude, s’organise et propose sur une partie des terres agricoles (20 ha) d’installer environ 5 agriculteurs (maraîchers, arboriculteurs, aviculteurs) avec, en plus du volet agricole, un volet pédagogique d’ouverture à la population Saint-Quentinoise. Les « business plan » sont réalisés, les agriculteurs sont prêts … La demande existe, tous les voyants sont au vert.

Mais le président de l’Île-de-loisirs a d’autres projets, plus rentables : il s’agit de stabiliser les recettes du syndicat en installant des activités « in-door ». En effet, en « bon gestionnaire », il constate que la fréquentation, une des sources de revenu par les droits d’entrée en voiture, est tributaire de la météo lors des week-ends de printemps. Il imagine donc qu’un karting in-door, qu’une vague de surf ou que tout autre activité, pourvue qu’elle soit pratiquée dans un immense hangar, vont pouvoir lui apporter des revenus stables.

Il fait donc modifier le PLUi pour que les terres agricoles puissent être construites. Il se heurte tout d’abord à l’opposition politique de Montigny et à quelques citoyens motivés mais passe outre avec l’aval du conseil municipal de Montigny et la bénédiction de SQY.

Heureusement, ce sont les services de l’État qui mettent un point final à cette folie, interdisant la modification du PLUi et ruinant les espoirs du président de l’Île de loisirs, entre temps promu maire de Montigny.

Et pendant ce temps-là, nos amis écolos, à chaque fois qu’ils passent en vélo à proximité pour imaginer et co-construire le projet « Le Champ des Découvertes », pestent en voyant les déchets s’amonceler sur l’ancienne parcelle du camping.
Insistants, ils retournent inlassablement tenter de persuader le nouveau président qui leur laisse entendre que leur projet est vraiment intéressant …

… Pour conforter quelques mois plus tard l’agriculteur industriel en place en lui faisant signer un bail plus long en échange de l’engagement de basculer la culture de ses céréales en bio.

Exit l’espoir d’un lieu dédié au maraîchage, à la découverte pédagogique de l’agriculture sous ses différentes formes, à la création d’un lieu coopératif à Montigny !

Et toujours les déchets s’amoncèlent, sans intervention ni du maire de la commune, ni du président de l’Île de loisirs ou du président de SQY…

Pneus usagés laissés à l'abandon sur la base de loisirs

 

Un détail : ils sont préoccupés par les JO qui, entre temps, ont été attribués à Paris. SQY va enfin connaître son heure de gloire. Mais il reste un petit problème à régler : le stade de BMX n’est pas compatible avec les JO ! Qu’à cela ne tienne, nos vaillants élus Saint-Quentinois proposent d’en construire un, « provisoire », sur l’Île de loisirs à moins d’un pas de la fameuse décharge… qu’ils ne prennent toujours pas en compte et feignent d’ignorer.

Quelques mois plus tard, l’organisation des JO revient en arrière et accepte le stade de BMX tel qu’il est : les drones remplaceront les hélicoptères pour les prises de vue – on n’arrête pas le progrès ! – et les élus locaux remballent leur proposition de stade provisoire de BMX.

L’histoire continue : un nouveau projet avec Urban loop pointe le nez et nos élus, toujours friands d’innovation, s’engouffrent comme un seul homme dans ce projet « d’avenir » !

Et toujours, les déchets s’amoncèlent…

Non, c’est tout simplement le résultat d’une histoire !

C’est l’histoire d’une droite qui, tout en sacralisant et glorifiant la vie en façade, choisit toujours de sacrifier l’Humain et, plus largement le vivant, sur l’autel du profit et du prestige.

C’est l’histoire d’un président de l’Île de loisirs écologiste mis en minorité par ses propres « amis » politiques et d’une agglomération offerte à la droite par une gauche qui ne constituait plus une alternative crédible.

C’est l’histoire d’un cadeau fait par un président de SQY « socialiste » à ses amis de la droite conservatrice et libérale (le vélodrome).

C’est l’histoire d’un conflit entre trois groupes de droite (les clans Pécresse – Région, Bédier – Département et Fourgous – SQY) se refilant la « patate chaude » de l’évacuation des déchets qu’ils ont contribué à amonceler.

C’est l’histoire d’une droite qui tout en se prétendant « bonne gestionnaire » ne prévoit rien, n’anticipe rien sauf à croire béatement au Dieu de la technique qui sauvera le monde, à servir les intérêts des grands prêtres de ce Dieu que sont les grands patrons, à favoriser les plus-values colossales d’une minorité.

Conclusion : 12 ha de déchets sur l’île de loisirs = le résultat logique de politiques publiques assumées dont nous sommes les complices en les laissant prospérer sur notre territoire + le reflet de notre société de consommation qui rejette toujours dans son arrière-cour tout ce qu’elle refuse de prendre en compte proprement, c’est-à-dire éthiquement.

Pour en savoir plus …

L’idée des bases de loisirs date des années 60. Leur but était de permettre aux personnes vivant en ville de profiter d’espaces naturels proches et accessibles. Face à la poursuite de l’urbanisation, les pouvoirs publics y voient une solution pour permettre à chacun d’avoir accès à des espaces naturels publics (non privatisés).

Dans le même temps, les villes nouvelles sont lancées en Île de France et des bases de loisirs vont être intégrées au développement de certaines d’entre elles, notamment à Saint-Quentin-en-Yvelines (ouverte en 1973), Cergy-Pontoise et Créteil.

Elles sont propriétés de la Région mais leur gestion est statutairement confiée à un syndicat mixte d’études d’aménagement et de gestion (SMEAG)) comprenant la Région, le Département des Yvelines et l’agglomération de Saint Quentin en Yvelines (SQY) dans notre cas.
Les bases de loisirs deviennent Îles de loisirs en 2014. Elles sont 12 à être réparties sur le territoire francilien, l’objectif initial étant que chacun ait accès à une île de loisirs à maximum une heure de voiture.

La base de loisirs de SQY est ouverte en 1973 autour d’un plan d’eau artificiel qui a servi jusqu’en 1977 de réserve d’eau aux fontaines du château de Versailles. Sa superficie est de 600 hectares, elle est la plus grande des 12 Îles de loisirs d’Île de France.

Une zone a été classée zone naturelle en 1986, puis Natura 2000 en 2003. Depuis 2021, cette zone fait partie de la réserve naturelle nationale des étangs et rigoles d’Yvelines.

À l’origine, l’accès à la base de loisirs était gratuit pour les saint-quentinois. Cependant depuis 2015, ces derniers ne bénéficient plus que de trois entrées gratuites par an et doivent ensuite s’acquitter du droit d’entrée de 5 € pour un véhicule (voiture, moto, minibus). Seule l’entrée pour les piétons et les vélos reste gratuite. Une fois entré, il faut encore débourser pour la majorité des activités proposées.

Malgré cela, comme la plupart de ses congénères, l’Île de loisirs reste régulièrement déficitaire ; des alertes sont lancées année après année, ce qui explique sans doute la multitude de projets imaginés pour tenter de rendre l’opération financièrement rentable.

Fin 2021, le Département annonce sa volonté de se retirer du syndicat. Ses représentants vont jusqu’à affirmer que « la communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines pourrait prendre en charge la gestion de l’Île de loisirs, poumon vert, au cœur de son territoire. » ( journal les échos, 17 septembre 2021)

De son côté la région Île de France cherche un nouveau modèle d’exploitation, à travers un appel à manifestation d’intérêt appelé « Réinventons les Îles de loisirs » : « Afin de donner un maximum d’écho à cette démarche et à y associer le plus grand nombre de partenaires, la Région publie l’appel à manifestation d’intérêt « Réinventons les Îles de Loisirs ».

Tous les investisseurs privés sont invités à proposer leur vision et la réalisation de projets viables économiquement qui exploiteront pleinement les potentialités des Îles de loisirs, avec la préoccupation de construire une offre pour un public large.
Les projets seront ensuite construits île par île, en lien avec les gouvernances locales, au cours du 2e semestre, avec comme priorité les îles de Saint-Quentin en Yvelines, Bois-le-Roi (dont la DSP s’achève le 31 décembre 2023), Étampes (fin de DSP en octobre 2024) et Port aux Cerises (fin de DSP en décembre 2024). » Les projets sont attendus avant le 31 mars 2023.

Nous n’avons trouvé nulle part d’analyse de la situation. Le raisonnement semble toujours le même : les Îles de loisirs sont déficitaires parce que le consommateur n’est pas au rendez-vous. Donc nous allons imaginer encore plus de projets pour attirer encore plus de monde. Logiquement, l’endettement s’accroît. Et quelques années plus tard, le constat est fait que le projet est déficitaire. LA raison invoquée est que c’est parce que les visiteurs n’ont pas été au rendez-vous. Et on se lance à la recherche de projets économiquement viables. Qui vont inévitablement entraîner l’artificialisation de nouveaux sols, permise grâce à l’argument hypocrite du « zéro artificiellement net ».

Et si on changeait le logiciel ?

Si on exigeait des projets qu’ils soient écologiquement viables ? Notre Île de loisirs est la plus grande d’Île de France. C’est la seule à posséder en son sein une réserve naturelle qui mêle une dimension historique unique et un intérêt écologique majeur, par sa richesse en milieux naturels et espèces rares et menacées.

Si on revenait au principe fondateur des îles de loisirs – permettre à tous les franciliens d’avoir un accès à une zone de nature– projet d’utilité publique qui par définition ne peut pas être rentable financièrement?

L’urgence climatique voudrait que nos élus prennent en compte le trésor que cela représente en 2023 et décident de préserver cet espace si fragile et précieux qui profite à tous les Saint-Quentinois et notamment les populations qui ne peuvent partir en vacances au vert.

 

Ironie… communication zéro déchet à une centaine de mètres des hectares de détritus…

  • 2012 : rénovation du camping et sa montée en gamme. (Le Parisien Yvelines, lundi 21 mai 2012) Dans les faits, le camping est fermé définitivement en 2012, laissé à l’abandon, aux squatteurs et devient une décharge à ciel ouvert au vu et au su de nombre de promeneurs.
  • 2012 : installation du PSG – le club a décliné la proposition. (le Parisien, 21 septembre 2012)
  • 2012 : à propos du vélodrome (Le Parisien Yvelines, jeudi 7 juin 2012), le maire de Montigny rêve : « Sur la grande aire centrale du vélodrome (3000 m2) seront organisés des tournois badminton, boxe, judo… sans toucher à la piste. On peut aussi imaginer accueillir la Coupe Davis, un grand match de basket… « .
    On peut lire aussi qu’il est prévu que les 5000 places de l’enceinte serviront « trois ou quatre fois par an » à accueillir des concerts, selon le président de Vélopolis, qui gère le site. Et que d’autres évènements de moindre importance (conventions d’entreprise, salons), à raison d’une cinquantaine par an, génèreront 400.000 € revenus. 11 ans plus tard, l
    e compte n’y est pas. Si le vélodrome a bien acquis une certaine notoriété, c’est hélas lié surtout à sa transformation en vaccinodrome pendant l’épidémie de COVID.
  • 2013 : projet de construction sur la terre agricole de la partie Nord d’un hangar permettant la pratique de sports in-door (karting, vague de surf,…). L’état interdit la transformation de la zone agricole en zone constructible.
  • 2015 : fermeture de la piscine à vague pour « problèmes techniques » après une quarantaine d’années de bons et loyaux services – et environ autant d’années de déficit.
  • 2017 : projet de piste provisoire de BMX, financé en théorie par le comité olympique. Le 30 juin 2021, c’est le stade de BMX actuel qui est présenté dans la gazette-sqy.
  • 2018 : Supraway : projet d’un transport semi-aérien qui desservirait entre autres l’Île de loisirs au moment des J.O.P. (passer du cyclisme sur piste au Vélodrome national au BMX sur l’Île de loisirs à Trappes, puis aller assister aux épreuves de VTT sur la colline d’Élancourt en étant transportés à 8 m du sol, source le Parisien 29 octobre 2018); après avoir été présenté comme « techniquement faisable » dans la gazette-sqy du 26 mars 2019, le projet est abandonné début 2021 pour des raisons financières. Île de France mobilités et la région ayant décidé de ne plus participer (propos du vice-président de Saint-Quentin-en-Yvelines en charge des transports et mobilités durables le 3 avril 2021 dans actu78)
  • 2018 : L’association le Champ des découvertes propose d’installer une ferme maraîchère bio à l’île de loisirs de Saint-Quentin-en-Yvelines
  • Aujourd’hui
    • Le terrain indiqué sur les plans affichés dans l’Île de loisirs comme « mis à disposition pour la recherche en agroécologie » est actuellement cultivé par un agriculteur industriel qui s’est engagé à se convertir en bio.
    • Une boucle de 2 km d’Urbanloop  devrait permettre de transporter 240 personnes par heure pendant les épreuves des J.O.P.  Prévue au départ pour une durée de 17 mois, l’expérimentation pourrait être « plus courte » selon une interview accordée par le vice-président de l’agglomération chargé des transports et mobilités durables à 78actu (14 février 2023) :  « on va voir comment l’expérimentation se passe… On a des idées d’itinéraires qui pourraient faire sens. »
Présidents de la région île de France
  • 1976 – 1988 : Michel GIRAUD (RPR)
  • 1988 – 1992 : Pierre-Charles KRIEG (RPR)
  • 1992 – 1998 : Michel GIRAUD (RPR)
  • 1998 – 2015 : Jean-Paul HUCHON (PS)
  • Depuis 2015 : Valérie PECRESSE (LR)

Présidents du conseil départemental Yvelines

  • 1968 – 1976 : Jean-Paul PALEWSKI (UDR)
  • 1977 – 1994 : Jean-Louis TENAILLON (UDF)
  • 1994 – 2005 : Franck BOROTRA (RPR puis UMP)
  • 2005 – 2009 : Pierre BÉDIER (UMP)
  • 2009 : intérim deux mois, Christine BOUTIN (PCD)
  • 2009 – 2014 : Alain SCHMITZ UMP
  • Depuis 2014 : Pierre BÉDIER (UMP puis LR)

Présidents de l’agglomération de Saint-Quentin-en Yvelines (SQY)

  • 1973 – 1977 : Roland OBEL (DVD), maire de Magny-les-Hameaux
  • 1977 – 1980 : Mario URBANET (PCF), maire adjoint de Trappes
  • 1980 – 1982 : Alain LE VOT (PCF), maire de Magny-les-Hameaux
  • 1983 – 1989 : Doniminque RAIMBAULT (PS), conseiller municipal de Montigny
  • 1989 – 1998 : Roland NADAUS (PS), maire de Guyancourt
  • 1998 – 2014 : Robert CADALBERT (PS), conseiller municipal de Guyancourt
  • 2014 – 2017 : Michel LAUGIER (UDI puis SE), maire de Montigny de 2004 à 2017
  • Depuis 2017 : Jean-Michel FOURGOUS (LR), maire d’Élancourt depuis 1996

Maires de Montigny

  • 1984 – 2004 : Nicolas ABOUT (UDF-PSD)
  • 2004 – 2017 : Michel LAUGIER (UDF)
  • 2017 – 2020 : Jean-Luc OURGAUD (DVD)
  • Depuis 2020 : Lorrain MERCKAERT (DVD)

Présidents de l’ile de loisirs de Saint-Quentin-en-Yvelines

  • 2001 – 2008 : Bernard CHOQUIER (Verts), conseiller municipal d’Élancourt
  • 2008 – 2014 : Bernard TABARIE (PS), conseiller municipal de Guyancourt
  • 2014 – 2017 : Jean-Luc OURGAUD (DVD), adjoint au maire de Montigny
  • 2017 – 2020 : Jean-Pierre PLUYAUD (DVD), adjoint au maire de Montigny
  • Depuis 2020 : José CACHIN, adjoint au maire de Montigny

Sources

Journal le Parisien :

Vidéo du 2 février 2023
Article à la même date
et de nombreux autres articles cités dans le fil du texte

Journal les Échos

Journal en ligne Actu

La gazette de SQY

Liste des présidents de la région Île de France : Wikipédia
Liste des présidents du conseils départemental des Yvelines : Wikipédia
Liste des présidents de SQY : Wikipédia
Liste des maires de Montigny : Wikipédia
Liste des présidents de l’ile de loisirs : le Parisien https://www.leparisien.fr/yvelines-78/un-vert-a-la-base-de-loisirs-11-06-2001-2002227811.php

Site de la région Île de France

Site officiel de l’Île de loisirs

Site de la réserve naturelle des étangs et rigoles d’Yvelines

Cartographie des espaces naturels ou protégés 

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